Presse

Bulletin des Soies et Soieries, n°1001, 11 juillet 1896.
© musée des Tissus – Pierre Verrier

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Oui. Ils sont disponibles sur la pageEspace presse.


  Je suis journaliste, comment obtenir des visuels ?

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  À qui demander une accréditation pour filmer et photographier dans le musée des Tissus ?

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Partenariats & membres

Philippe de Lasalle, Branche fleurie enlacée par un ruban de fourrure, France, fin du XVIIIe siècle (endroit/envers)
© musée des Tissus – Pierre Verrier

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Stages & emplois

Veste informelle, dite waitao de femme Han, Chine, dernier tiers du XIXe siècle.
© musée des Tissus – Sylvain Pretto

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Le musée des Tissus ne prend en compte que les demandes de stage obligatoire intégré à un cursus.

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Les postes vacants sont disponibles sur la page Offre d'emploi et stage.


  Comment poser sa candidature à un poste ?

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  Quels sont les types d'emploi étudiant proposés par le musée des Tissus ?

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Le musée des Tissus ne peut accepter de bénévolat pour des questions juridiques.

L’ACTIVITE DU MUSEE PENDANT LA FERMETURE


  Pendant les travaux, pourquoi ne pas avoir conserver ouvert un des deux hôtels particuliers ?

Pendant les travaux, un important travail sur les collections est à mener mobilisant les équipes du musée. C’est ce que l’on appelle un chantier des collections : il s’agit de recenser les œuvres qui se trouvent dans les réserves, de constater leur état, de les photographier, puis de les reconditionner avant de les déménager pour vider les bâtiments avant travaux. C’est un travail colossal compte tenu du nombre d’œuvres contenues dans les réserves du musée, sans qu’un récolement ait pu être réalisé depuis des décennies.

En effet, au cours de 150 ans d’existence du musée, les collections ont été accumulées sans toujours donner lieu à l’établissement d’inventaires.

Signe de reconnaissance de ses collections exceptionnelles, le musée a reçu l’appellation «  musée de France ». Il a ainsi pour mission de préserver, d’enrichir, d’étudier, de valoriser les collections permanentes, reconnues d’intérêt public, et de les mettre à la disposition du public selon le code du patrimoine.

A travers ce vaste chantier des collections, le musée satisfait ainsi à l’obligation légale de récolement décennale des Musées de France. Ce chantier ambitieux, soutenu par la Région Auvergne-Rhône-Alpes est une opportunité unique de procéder à l’inventaire des collections, de mieux les étudier et les connaître.

Ce chantier se scinde en 3 parties :

· Le chantier des collections des arts décoratifs et leur déménagement, déjà réalisé. Dans le cadre de cette restauratrion, toutes les œuvres présentes dans l’hôtel de Lacroix-Laval ont été déménagées, inventoriées et sont à présent protégées dans une réserve externalisée. Ce chantier des collections d’arts décoratifs a ainsi permis de recenser et de photographier plus de 36 000 objets.

· Le chantier des collections textiles.

· Le chantier sur les collections du centre de documentation et de la bibliothèque patrimoniale (arts graphiques et photographiques).

Ce travail de fond marque une étape importante de la vie du projet et s’accompagne d’une réflexion muséographique générale pour permettre le redéploiement des collections, associant les équipes du musée aux muséographes et scénographes du groupement Ricciotti.

En outre, il est très difficile de garder une activité avec des travaux de restauration extérieurs et intérieures sans porter préjudice aux collections. La mobilisation des équipes du musée sur le déménagement, le chantier des collections et l’avancement des travaux, et les menaces sur les collections en phase chantier rendent impossible l’ouverture partielle de l’établissement.


  Les œuvres du musée seront-elles exposées ailleurs pendant les travaux ?

Le musée va prêter des objets à d’autres institutions, dans le cadre d’expositions temporaires et de renouvellement de parcours permanents. L’établissement travaille avec d’autres musées lyonnais.

A titre d’exemple, nous venons de prêter des tissus coptes au musée des Beaux-Arts de Lyon, un tapis iranien pour l’exposition « Arts de l’Islam », à la médiathèque Rillieux,, un ensemble d’objets de la collection arts décoratifs pour l’exposition "La table, un art français - Du XVIIe siècle à nos jours », à l’Hôtel des expositions du Var à Draguignan mais également un tapis d’audience, présenté au Louvre d’Abu Dhabi pour l'exposition Dragon And Phoenix jusqu'au 12 février et 17 œuvres pour l’exposition « A la mode », au musée d’Arts de Nantes.


  Des fouilles sont-elles prévues ?

Le quartier d’Ainay est occupé depuis l’époque gallo-romaine, un travail va donc être mené avec les archéologues pour rendre compte de la richesse du quartier. Un diagnostic va déterminer si des fouilles doivent être entreprises. Ces études sont menées sous la supervision du service régional archéologique de la DRAC et du service archéologique de la ville de Lyon.

LE PROJET ARCHITECTURAL


  Que va-t-on détruire dans ce projet de renaissance ?

Préalablement au lancement du concours de maitrise d’œuvre, une étude patrimoniale a été conduite par la Région pour mieux connaitre les origines des différentes constructions, leurs valeurs architecturales et patrimoniales. Ceci afin de mieux appréhender les perspectives d’évolution et de transformation du musée.

Au-delà des deux hôtels particuliers XVIIIe, situés entre cour et jardin, figure importante et classique de l’histoire de l’architecture, le site a fait l’objet de nombreuses modifications au cours du temps. Autour de ces deux hôtels, se sont agglomérés des bâtiments par opportunité, de valeur patrimoniale moindre. Seront démolis les bâtiments qui ne présentent pas de valeur patrimoniale particulière, qui sont mal conçus ou en mauvais état et présentent des surfaces inutilisables, des escaliers empiriques, des circulations chaotiques.


  Quel est le devenir du jardin de Lacroix-Laval ?

L’entrée des visiteurs sur le site du musée se fera par le jardin de l’hôtel de Lacroix-Laval, espace préservé au cœur du quartier d’Ainay. Situé au centre de la parcelle, le jardin devient donc point d’accueil très identifiable, et rend le musée plus visible depuis la rue de la Charité.

Ce travail fait l’objet de discussion avec la conservation régionale des monuments historiques pour ne pas dénaturer son esprit originel. Le jardin sera accessible aux heures d’ouverture du musée.